1. Singe du genre Chiropotes ou Pithecia, de la famille des cébidés (Cebidae).
Le saki à face blanche (Pithecia pithecia) est un primate du nord de l'Amérique du Sud.
2. Le terme saki (parfois orthographié saqui) est un nom vernaculaire porté par plusieurs espèces de singes du Nouveau Monde de la famille des Pitheciidae.
3. Vin de riz japonais, produit par fermentation comme la bière, titrant de 14° à 17°.
Un verre de saké.
4. L'alcool de riz est une expression assez vague qui se rapporte à toute boisson alcoolisée à base de riz, fabriquée et consommée principalement en Asie. On peut distinguer différents alcools de riz selon le type de fabrication (fermentation simple ou suivie d'une distillation) et le pays d'origine : principalement Japon, Chine ou Corée. On trouve également des alcools de riz au Tibet et au Népal (raksi), et au Viêt Nam (r??u c?n).
5. [noun] A sweet low alcohol wine brewed from steamed glutinous rice.
6. Boisson alcoolisée produite par saccharification puis fermentation de riz sans distillation.
7. Chaque espèce est suivie de la liste des timbres qui la figurent, avec dans l'ordre l'année d'émission, la valeur faciale et, entre parenthèses le numéro dans les catalogues (M = Michel, Sc = Scott, SG = Stanley et Gibbon, YT = Yvert et Tellier)
8. En français, le mot saké désigne une boisson alcoolisée japonaise à base de riz. Il s'agit d'un alcool de riz produit par fermentation titrant de 14 à 17°. En japonais, bien que ce même terme sake (? ? ' ?) ou o-sake (?? ? ' ? , prononciation kun'yomi, le « o » marquant le respect, voir Keigo) désigne cette boisson, son sens peut s'étendre selon le contexte à toute boisson alcoolisée, aussi les Japonais utilisent-ils plutôt le terme nihonshu (??? ? ' ? , littéralement « alcool japonais »), pour être plus spécifique.
9. Genre de primates appartenant à la famille des Cebidae, incluant les espèces du genre Chiropotes ou Pithecia.
10. saki (Vieilli) Orthographe alternative de « saké », une boisson alcoolisée japonaise.
sachant depuis longtemps les belles manières nipponnes, je lave moi-même, dans un bol d'eau chaude, apporté à cet usage, la tasse en miniature où j'ai bu, j'y verse quelques gouttes de saki et les offre successivement aux deux mousmés; elles font mine de boire, je fais mine de vider la coupe après elles, et nous échangeons de cérémonieuses révérences : l'étiquette est sauve.