1. De l'homme politique grec Elefthérios Venizélos (1864 - 1936) ou de son courant politique le vénizélisme.
2. Partisan de l'homme politique grec Elefthérios Venizélos (1864 - 1936) ou de son courant politique le vénizélisme
Vous devez savoir, d'ores et déjà, qu'à Athènes, la société est divisée en deux camps : royalistes et vénizélistes ? on appelle encore ainsi les républicains. Ce n'est que dans les ambassades que vous les rencontrerez ensemble, c'est-à-dire se regardant comme chiens et chats. Généralement, les royalistes sont gais, parce que l'état de fait marque le triomphe de leur cause ; les vénizélistes sont mornes ? un éclat de rire est rarement vénizéliste. Autre moyen de les reconnaître : les royalistes sont mal vêtus, car il sont pauvres ; les vénizélistes sont élégants, car ils sont riches. Ces derniers, qui représentent l'élément bourgeois, avaient renversé la monarchie, parce que cinquante-deux familles, plus ou moins aristocratiques, étaient les seules à être reçues à la cour.
(Roger Peyrefitte, Les Ambassades, 1951, Première Partie, II, page 23)
3. Relatif à Elefthérios Venizélos, homme politique grec (1864-1936), ou à son mouvement politique, le vénizélisme.
4. Personne soutenant Elefthérios Venizélos (1864-1936), homme politique grec, ou adhérant à son mouvement politique, le vénizélisme.
Vous devez savoir, d'ores et déjà, qu'à Athènes, la société est divisée en deux camps : royalistes et vénizélistes - on appelle encore ainsi les républicains. Ce n'est que dans les ambassades que vous les rencontrerez ensemble, c'est-à-dire se regardant comme chiens et chats. Généralement, les royalistes sont gais, parce que l'état de fait marque le triomphe de leur cause ; les vénizélistes sont mornes - un éclat de rire est rarement vénizéliste. Autre moyen de les reconnaître : les royalistes sont mal vêtus, car ils sont pauvres ; les vénizélistes sont élégants, car ils sont riches. Ces derniers, qui représentent l'élément bourgeois, avaient renversé la monarchie, parce que cinquante-deux familles plus ou moins aristocratiques étaient les seules à être reçues à la cour. - (Roger Peyrefitte, Les Ambassades, 1951, Première Partie, II, page 23)