1. La zone libre est, pendant la Seconde Guerre mondiale, après la signature de l'armistice du 22 juin 1940, la partie du territoire français située au sud de la ligne de démarcation, la zone occupée étant située au nord de cette ligne.
2. La zone libre est, pendant la Seconde Guerre mondiale, après la signature de l'armistice du 22 juin 1940, la partie du territoire français située au sud de la ligne de démarcation, la zone occupée par l'Armée allemande étant située au nord de cette ligne.
3. Territoire où les entreprises sont partiellement ou totalement exemptes d'impôts, en particulier de droits de douane pour les marchandises importées en vue de leur réexport.
4. Une zone franche (en anglais free zone) est une zone géographique d'un pays présentant des avantages fiscaux afin d'attirer l'investissement et de développer l'activité économique. Les entreprises qui s'y installent bénéficient d'un environnement fiscal et réglementaire plus favorable que celui en vigueur dans le reste du pays. En particulier les marchandises qui y sont introduites sont considérées comme ne se trouvant pas sur ce territoire et sont exonérées de droits à l'importation, de taxes et de mesures de politique commerciale.
5. Une zone de libre-échange est constituée de pays membres éliminant entre eux les droits de douane ainsi que les restrictions quantitatives à l'importation, mais conservant chacun leur propre politique commerciale vis-à-vis des pays tiers. Ces zones sont mis en place via des accords de libre-échange.
6. De manière similaire, de Gaulle adopte l'expression « France libre » pour donner une identité à son action. Dès le 18 juin 1940, il écrit que « rien n'est perdu parce que cette guerre est une guerre mondiale. Dans l'univers libre, des forces immenses n'ont pas encore donné ». Le 22 juin, de Gaulle conclut sa nouvelle allocution à la BBC par ces mots « Vive la France libre dans l'honneur et dans l'indépendance ! ».
7. La France libre est le régime de résistance extérieure fondé à Londres par le général de Gaulle à la suite de son appel du 18 juin 1940. La veille, le lundi 17 juin, face à la progression allemande, Philippe Pétain, chef du gouvernement de la IIIe République, avait appelé l'armée française à cesser les combats pendant les négociations de l'armistice avec les Allemands, qui les signèrent cinq jours plus tard, le samedi 22 juin.