Ne plus considérer comme subjectif.
Or l'étendue est très importante, car elle permet de désubjectiviser les sensations, et notamment l'idée de corps.
(Bernard Baertschi, Conscience et réalité : études sur la philosophie française au XVIIIe siècle?, 2005)
Tout autre est la question de savoir si, désubjectiviser la réalité morale, signifie la libérer de toute coloration affective.
(Georges Gurvitch, Morale théorique et science des moeurs : leurs possibilités, leurs conditions, 1961)