2. Vent qui devient plus fort que ce qu'il était.
Vers le soir je remarque que l'étai de foc s'use beaucoup et je me dispose à le réparer lorsqu'un coup de vent arrive si furieux et si sec que l'étai de foc et la bastaque bâbord, cèdent en même temps.
(Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
Des mois, des années, s'écouleront, sans qu'il soit payé de son labeur, et peut-être qu'au moment de jouir de ses peines passées, un coup de vent, une ondée de grêle, suffiront pour détruire ses justes espérances.
(Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, L'Archipel de Chausey, souvenirs d'un Naturaliste, La 'Revue des Deux Mondes', tome 30, 1842)
Individualistes à l'extrême ? tant l'aristocrate verdier que le plus lourd moineau ? et pourtant subitement soufflés tous ensemble par centaine comme des feuilles par un coup de vent, [?].
(Etienne Chevalley, Jours étranges (tome second))