1. [noun] A terminal research degree and one of the highest doctorates awarded by a university.
2. Le directeur général, manager général ou directeur-gérant (au Québec et au Nouveau-Brunswick) est, dans un club de baseball, notamment dans les Ligues majeures de baseball, un dirigeant dont les fonctions se résument à négocier l'acquisition de nouveaux joueurs, compléter des transactions avec les autres équipes, et négocier les contrats qui lient les athlètes et certains membres du personnel à son club.
3. Au Québec, il est parfois appelé directeur général en français.
4. Salarié qui occupe le rang le plus élevé dans l'administration d'une entreprise.
5. Un directeur général (DG), chef de la direction ou administrateur délégué (en Suisse et en Belgique), est le salarié qui occupe le rang le plus élevé dans la direction d'une organisation, que ce soit une entreprise, un organisme à but non lucratif ou une entité publique ou parapublique.
6. En France, au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Suède, le président-directeur général (PDG) est le dirigeant de plus haut rang dans une société anonyme (SA) fonctionnant sous un système moniste, c'est-à-dire avec un conseil d'administration et sans conseil de surveillance. Le président-directeur général cumule les fonctions de président du conseil d'administration et de directeur général (DG) au sein de la société.
7. Le président-directeur général (P.-D.G.) est le dirigeant de plus haut rang dans une société anonyme (SA) fonctionnant sous un système moniste, c'est-à-dire avec un conseil d'administration et sans conseil de surveillance. Le président-directeur général cumule les fonctions de président du conseil d'administration et de directeur général (D.G.) au sein de la société.
8. Personne qui cumule les fonctions de président du conseil d'administration d'un organisme et de responsable de sa gestion.
9. Grade de docteur.
On eut toutes les peines du monde à faire comprendre à l'autocrate que le triste régime dont nous étions dotés interdisait à un ministre, voire à un président de la République, d'octroyer le doctorat en médecine à un quidam incapable de passer le moindre examen.
(Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
[?]: le père de Laforgue, qui s'était depuis quelque temps consolé du refus de son fils d'entrer à Polytechnique, lui parlait d'une thèse de doctorat, après l'agrégation : [?].
(Paul Nizan, La Conspiration, 1938, p.52)
10. En France, le doctorat est le plus élevé des quatre grades universitaires. Il correspond au grade de docteur et sa collation est attestée par un diplôme national. Celui-ci peut être délivré, au nom de l'État, par les universités ou par d'autres établissements d'enseignement supérieur habilités à cet effet.
11. Le doctorat (du latin doctorem, de doctum, supin de docere, enseigner) est généralement le grade universitaire le plus élevé. Le titulaire de ce grade est le docteur. Selon les pays et les époques, le doctorat peut être un grade d'État (cas en Russie, en France à partir de l'époque napoléonienne jusqu'en 1897) ou un grade d'établissement (cas en Amérique du Nord, au Royaume-Uni, en Allemagne, en France avant la Révolution ou après 1984), voire mixte (cas en France de 1897 à 1984 avec la réintroduction progressive du doctorat d'établissement et l'élimination progressive du doctorat d'État), et peut être régi de manière globale, ou par discipline. En France, on effectue ses recherches dans une formation de minimum trois ans qui est une école doctorale et c'est celle-ci qui délivre le doctorat et pas seulement l'établissement d'inscription administrative.