1. Mère de Jésus-Christ.
2. Les Églises catholique et orthodoxe accordent une place essentielle à Marie, qu'elles appellent Marie de Nazareth [25], [26], Sainte Vierge, Vierge Marie, Notre-Dame (plus souvent chez les catholiques) ou Mère de Dieu (chez les orthodoxes comme chez les catholiques), et qui est l'objet d'une hyperdulie particulière : le culte marial, qui peut aller jusqu'à la mariolâtrie.
3. Marie (en araméen ????, Maryam ; en hébreu ????, Myriam ; en grec ?????, María ou ??????, Mariám ; en arabe ? ? ??? ? , Maryam), également connue sous les noms de Marie de Nazareth, Sainte Vierge, Sainte Marie, Vierge Marie, « Immaculée Conception », Notre Dame, Mère de Jésus ou Mère de Dieu, est une femme juive de Judée, et la mère de Jésus de Nazareth. Marie est une figure essentielle au sein du christianisme (notamment pour les orthodoxes et les catholiques) ainsi que dans l'islam.
4. Qui concerne la Vierge Marie.
Statue mariale.
Sanctuaires marials.
Culte marial.
5. (Christianisme) Qui concerne la Vierge Marie.
Mais surtout la Russie connut un développement particulier des cultes mariaux. La Vierge protectrice de la cité apparaît sur les absides de Notre-Dame de la Dîme et de Sainte-Sophie de Kiev; [?].
(Vladimir Vodoff, Naissance de la chrétienté russe, Fayard, 1988)
De fait, qu'un certain nombre parmi les sanctuaires marials aient été contemporains de la christianisation des Pyrénées, rien ne l'infirme, mais rien non plus ne le confirme.
(Textes réunis par Serge Brunet, ?Dominique Julia, ?Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d'Europe, Publications de la Sorbonne, 2005, page 124)
Il me semble que cette remarque de Sainte-Beuve est loin d'être innocente ou triviale, et qu'elle résume bien divers courants de l'époque, à commencer par le renouveau du culte marial.
(Aimée Boutin, Marceline Desbordes-Valmore et Alphonse de Lamartine ou les Mères douloureuses de la Poésie, dans Masculin/féminin dans la poésie et les poétiques du XIXe siècle, sous la direction de Christine Planté, Presses Universitaires de Lyon, 2002, p.217)