1. (Technologie) Action d'affiler un outil.
Lors de l'affûtage, il peut rester sur le bord de l'instrument des copeaux de métal meulé qui créent ce qu'on appelle une « bavure » par un procédé appelé affilage.
(Elizabeth A. Pawlak, Philip M. Hoag, Manuel de parodontologie, 1988)
2. Action d'aiguiser ; résultat de cette action.
Il faut, pour avoir un aiguisage parfait, que la vitesse de l'organe à aiguiser soit bien en rapport avec la vitesse de la meule ou du cylindre aiguiseur, ?.
(D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
3. [verb] Present participle of hone
4. Qualifie un vêtement très serré qui colle au corps et en laisse apparaître ses formes.
Philippe se félicitait de son flair et mourait d'envie de serrer contre lui les rondeurs à la fois dissimulées et révélées par la robe moulante. Elle repoussa ses avances avec une pudeur de violette, qui ne fit que la lui rendre plus désirable.
(Celia Brayfield, Perles, Albin Michel, 1990, p.181)
5. [adjective] (of clothing) Fitting closely to the body of the wearer, thus clearly revealing its shape.
6. [adjective] (of clothing) tight-fitting
7. Réduction d'un solide en poudre ou d'une poudre en une poudre plus fine encore.
Le broyage des fourrages grossiers a fait l'objet d'une analyse critique de Oreenhalgh et Wainman en 1972.
(M. G. Jackson, Le Traitement de pailles pour l'alimentation des animaux: évaluation de la rentabilité technique et économique, 1979)
8. Le broyage est une opération consistant à diviser un solide, pour augmenter sa surface spécifique (surface développée de la poudre par unité de masse) et donc sa réactivité.
9. Action de concasser.
Le concassage des pierres.
10. Le concassage est l'action de concasser, c'est-à-dire de réduire en petites parties (jusqu'à quelques millimètres), avec un outil (marteau, pilon), quelque matière dure ou sèche, comme le sucre, le poivre, la pierre, le minerai, etc.
11. Le courant potassique rectifiant activé par les protéines G ou GIRK, pour l'anglais G-protein activated Inwardly Rectifying K+ current, appartient à la famille des courants potassiques rectifiant. Le terme rectifiant est ici utilisé en référence au composé électronique, le rectifieur, qui n'est conducteur que pour une polarité. La séparation du complexe trimèrique des protéines G active ce courant via les sous-unités 'beta' et 'gamma'. Ce courant entraîne une hyperpolarisation du potentiel de repos qui inhibe le neurone.