Qui est de nature à causer du chagrin, de la tristesse.
Il le fait avec hauteur, avec simplicité, non sans allusion au « chagrinant rival » (?)
(Robert Brasillach, Pierre Corneille, Troisième partie, ch. VI, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1938, p. 472)
Ce sont des propos chagrinants.