1. Les pyrophytes passifs résistent à l'effet du feu grâce à des mécanismes ou des particularités diverses telle que la présence d'une écorce épaisse (séquoias géants, séquoias toujours verts, chênes-lièges, niaouli qui s'étend dans les régions où les feux de brousse sont devenus un mode de défrichement), une mauvaise flammabilité (susceptibilité à prendre feu chez les tamarix, les Atriplex, les chênes caducifoliés ou les essences à bois très dur : if, buis) ou la présence d'organes souterrains de régénération ou de réserves (fougères aigles, divers géophytes).
2. Les pyrophytes passifs résistent à l'effet du feu grâce à des mécanismes ou des particularités diverses telle que la présence d'une écorce épaisse ( séquoias géants, séquoias toujours verts, chênes-lièges, niaouli qui s'étend dans les régions où les feux de brousse sont devenus un mode de défrichement ) , une mauvaise flammabilité ( susceptibilité à prendre feu chez les tamarix, les Atriplex[4], les chênes caducifoliés ou les essences à bois très dur : if, buis ) ou la présence d'organes souterrains de régénération ou de réserves ( fougères aigles, divers géophytes ) [5].