1. Membre de la Garde républicaine, subdivision de la Gendarmerie nationale française.
Comme pour toutes les unités de la Gendarmerie (sauf cas particulier des choristes et de certains musiciens), pour devenir garde républicain, il faut d'abord réussir le concours de gendarme.
([1])
Selon son régiment ou son service, le garde républicain assure la protection de l'Élysée, patrouille dans Paris, escorte à moto un chef d'État, joue de la musique, défile à cheval lors du 14 juillet etc.
2. Composante de la force terrestre syrienne.
Depuis juin 2012, la Garde républicaine syrienne combat aux côtés des pro-Assad.
3. Subdivision de la Gendarmerie nationale française.
Les projecteurs des médias nationaux ont été braqués vers les cortèges de tracteurs vers, autour et dans Paris en ce 3 septembre. Mais, en toute discrétion, l'escadron motocycliste de la Garde Républicaine a contribué de façon essentielle à la mission générale de maintien de l'ordre public par la mise en oeuvre de 10 dispositifs d'escorte.
([1])
4. Composante de la force terrestre yéménite.
Les soldats de la Garde républicaine ont ouvert le feu sur des milliers de personnes qui manifestaient dans le centre de la ville pour réclamer 'la chute des restes du régime'.
(Le Parisien du 21/07/2011, Yémen: un manifestant tué à Taëz [1])
5. Troupe d'élite de l'armée irakienne sous la dictature de Saddam Hussein.
Créée en 1980, la Garde Républicaine irakienne a été officiellement dissoute le 23 mai 2003.
6. La Garde républicaine est une subdivision de la Gendarmerie nationale qui assure des missions d'honneur et de sécurité au profit des plus hautes autorités de l'État ainsi que des missions de sécurité au profit du public. Elle concourt également au rayonnement culturel de la France avec ses formations musicales et ses formations spéciales. Enfin, elle exécute des missions d'assistance, de formation et de coopération, tant en France qu'à l'étranger.
7. Par décret du 23 août 1944, la Garde prend l'appellation de garde républicaine. Elle est rattachée à la gendarmerie à compter du 10 septembre, la fusion des personnels étant parachevée par un décret du 14 janvier 1945.