(Maroc) (Algérie) Sorte de salutation propre aux mahométans.
[?] , et, nous voyant disposés à nous défendre, ils doivent se dire que le jeu ne vaudrait peut-être pas la chandelle. Nous échangeons un « es-salamou âlikoum » ? « ou âlikoum es-selam » qui sonne un peu faux; puis une conversation s'engage, tout-à-fait courtoise.
(Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, p. 47)