1. Qui corrompt, qui détourne quelqu'un de son devoir par des promesses, des dons, etc.
Des doctrines corruptrices.
Une littérature corruptrice.
Des spectacles corrupteurs.
Un langage corrupteur.
2. Celui, celle qui corrompt les moeurs, l'esprit, le langage, le goût, etc.
Ces écrivains furent les premiers corrupteurs du langage, du goût.
Ma première condamnation est due aux Verdets, des hommes qui s'intitulaient alors pères de la foi, et qui n'étaient autres que ces hideux jésuites que le Parlement, en 1762, a traité de corrupteurs de la jeunesse.
(Réponse de M. Raspail père à l'avocat général, lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874)
3. Qui corrompt.
Des doctrines corruptrices.
Une littérature corruptrice.
Des spectacles corrupteurs.
Un langage corrupteur.
4. Qui incite à la malhonnêteté, à la dépravation ou altère l'intégrité.
5. Personne qui dégrade moralement ou altère la pureté, notamment en matière de moeurs, d'esprit, de langage ou de goût.
Ma première condamnation est due aux Verdets, des hommes qui s'intitulaient alors pères de la foi, et qui n'étaient autres que ces hideux jésuites que le Parlement, en 1762, a traité de corrupteurs de la jeunesse.
6. Personne qui dégrade moralement ou altère la pureté, notamment en matière de moeurs, d'esprit, de langage ou de goût.
Ma première condamnation est due aux Verdets, des hommes qui s'intitulaient alors pères de la foi, et qui n'étaient autres que ces hideux jésuites que le Parlement, en 1762, a traité de corrupteurs de la jeunesse.