1. Fait de se corriger soi-même.
Dans la communauté, l'élève développe des habiletés critiques et d'autocorrection, car ses idées sont soumises à la réflexion et à la critique des autres.
(Louise Lafortune, Pierre Mongeau, L'affectivité dans l'apprentissage, page 34, 2002, PUQ)
2. L'autocorrection (substantif féminin), néologisme créé du grec auto ('soi-même') et du substantif correction, est une figure de style qui se fonde sur la reprise volontaire de paroles que l'on vient d'énoncer afin de les reformuler avec plus de justesse ou plus de force, généralement sous forme interrogative afin d'opérer une rectification. Elle vise des effets d'éloquence et d'insistance. On la définit aussi parfois sous le terme de correction ; elle est proche de l'anthorisme et de la rétractation.
3. (Littérature) Figure de style fondée sur la reprise volontaire de paroles que l'on vient d'énoncer afin de les reformuler avec davantage de justesse ou de force.
Plus complexe, le deuxième exemple d'autocorrection repose sur un enchaînement du type ''non (?) non plus (?) n'importe'' où la négation porte sur un seul terme : ''? il faudrait que la terre tremble, ce n'est pas de la terre, on ne sait pas ce que c'est, c'est comme de la sargasse, non, c'est comme de la mélasse, non plus, n'importe?''.
(Véronique Henninger, dans L'imaginaire linguistique, page 133, Collectif, 2002, L'Harmattan)
4. L'autocorrection, ou autocorrecteur, est une fonction d'un logiciel de traitement de texte permettant d'effectuer, à des degrés variés, l'analyse de l'écriture afin d'y repérer des erreurs, et d'offrir des termes de remplacement. Elle est une fonction très répandue sur mobile et permet, notamment, d'augmenter la vitesse de communication.
5. Capacité d'un individu à identifier et corriger ses propres erreurs.
Dans la communauté, l'élève développe des habiletés critiques et d'autocorrection, car ses idées sont soumises à la réflexion et à la critique des autres.
6. (Rhétorique) Procédé stylistique impliquant une correction immédiate de ce qui vient d'être dit pour en préciser ou renforcer le sens.
Plus complexe, le deuxième exemple d'autocorrection repose sur un enchaînement du type '' non (...) non plus (...) n'importe '' où la négation porte sur un seul terme : '' ... il faudrait que la terre tremble, ce n'est pas de la terre, on ne sait pas ce que c'est, c'est comme de la sargasse, non, c'est comme de la mélasse, non plus, n'importe... '' .
7. (Informatique) Fonctionnalité permettant une correction automatique des erreurs dans un texte.