1. Art ou métier de dactylographe.
Elle a réservé à son enfant une situation de demoiselle, c'est-à-dire qu'elle s'est saignée pour lui faire apprendre la sténo et la dactylographie.
(Victor Méric, Les Compagnons de l'Escopette, Éditions de l'Épi, Paris, 1930, p. 199)
2. La dactylographie (du grec ancien « ???????? » (doigt) et « ????? » (écriture, - graphie)) est l'action de saisir un texte sur un clavier (de machine à écrire ou d'ordinateur). Celui qui pratique la dactylographie, en tant que loisir ou métier, est un dactylographe. La pratique du métier nécessite l'utilisation de huit doigts (l'auriculaire n'est pas utilisé) avec rapidité, fluidité et précision et de ne pas regarder les touches du clavier mais de garder le regard sur le texte à saisir. La pratique du loisir peut quant à elle utiliser seulement deux doigts au lieu de dix, ce qui est le cas de la majorité des gens la pratiquant ; l'utilisation de huit doigts nécessite en effet une méthode et un temps d'apprentissage plus long et est moins spontanée. L'utilisation de deux doigts n'est toutefois pas recommandée pour la santé (troubles musculosquelettiques) et est beaucoup moins efficace tant en vitesse qu'en confort,.
3. [noun] Typing without the use of sight to identify the keyboard keys.
4. (Programmation informatique) Détermination automatique du type d'une variable en fonction des affectations de valeur dont elle est l'objet
Le typage n'est automatisé que dans certains langages de très haut niveau. La plupart des langages se contentent de vérifier la cohérence de ce que le programmeur déclare.
5. (Informatique) Erreur de saisie lors de l'utilisation d'un clavier d'une machine à écrire ou d'ordinateur.
Mais aucune dactylo n'est parfaite, et les fautes de frappe sont inévitables, tout le monde le sait.
(Lise Jules-Romains, Les vies inimitables, 1985, p. 40)
6. [noun] A mistake made during the process of typing, especially one caused by a slip of the fingers; often shortened to typo.