1. Le deadname ou morinom est, le prénom de naissance ou le précédent nom d'une personne qui n'est pas cisgenre, et qui, au vu de sa transidentité ou non-binarité, a décidé de changer son prénom, administrativement ou par l'usage. Cependant, dans le cas administratif, la personne change de prénom en mention marginale de l'état civil, et est ainsi reconnue officiellement et uniquement par cette identité-là. Dans le cas inverse, le morinom est toujours de jure au moins de rigueur, officiellement. Le deadnaming ou morinommage désigne l'usage de cet ancien nom sans le consentement de la personne concernée. Le morinommage intentionnel est parfois utilisé pour rejeter l'identité de genre d'une personne et le nom qui l'accompagne, ce qu'elle peut considérer comme profondément irrespectueux.
2. Le deadname ou morinom, est le prénom de naissance ou le précédent nom d'une personne qui a changé de prénom en raison de sa transition de genre. Le deadnaming ou morinommage est l'usage de cet ancien nom sans le consentement de la personne concernée.
3. Le deadname ou morinom , est le prénom de naissance ou le précédent nom d'une personne qui a changé de prénom en raison de sa transition de genre . Le deadnaming ou morinommage est l'usage de cet ancien nom sans le consentement de la personne concernée et peut relever d'une agression ou une micro-agression.
4. Le morinom , ou deadname est le prénom antérieur d'une personne en ayant changé en raison de sa transition de genre . Le morinommage ou deadnaming désigne l'usage de cet ancien nom qui peut être considéré comme une agression ou une micro-agression envers la personne concernée et les personnes trans.
5. En décembre 2020, la plateforme Netflix remplace le morinom de l'acteur Elliot Page des métadonnées de tous les films dans lequel l'acteur avait joué des rôles féminins [ 28].
6. Nom de naissance ou prénom initial d'une personne, en particulier chez les personnes transgenres, souvent remplacé par un nouveau prénom.
«Si tu connais le morinom d'une personne trans... Enterre-le au fond de ta mémoire!»