1. (Biologie) Relatif aux plasmides.
Ainsi, la résistance aux aminosides qui ne concernait, jusqu'en 1975, que la streptomycine et la kanamycine a été modifiée par l'apparition cette même année de deux nouveaux phénotypes de résistance plasmidique.
(Bernard Lobel & ?Claude Soussy, Les infections urinaires, Springer, 2007, p. 37)
2. Fragment d'ADN circulaire double brin (en dehors de la réplication), distinct du chromosome et capable de réplication autonome. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
3. (Génétique) Molécule d'ADN extrachromosomique capable de se répliquer indépendamment et portant des caractères génétiques non essentiels à la cellule hôte.
4. Un plasmide désigne en microbiologie ou en biologie moléculaire une molécule d'ADN distincte de l'ADN chromosomique, capable de réplication autonome et non essentielle à la survie de la cellule. Le terme plasmide fut introduit par le biologiste moléculaire américain Joshua Lederberg en 1952.
5. En microbiologie et en biologie moléculaire, un plasmide est une molécule d'ADN distincte de l'ADN chromosomique, capable de réplication autonome et non essentielle à la survie de la cellule. Les plasmides sont bicaténaires (constitués de deux brins complémentaires) et généralement circulaires. On les trouve presque exclusivement dans les bactéries et parfois dans d'autres micro-organismes comme le plasmide 2Mu que l'on trouve dans la levure Saccharomyces cerevisiae (levure de boulangerie), un eucaryote unicellulaire. Les plasmides sont présents en nombre de copies variable : les grands plasmides naturels (>50 kb) sont souvent présent à une ou deux copies par cellule, comme le chromosome. Les plasmides construits par génie génétique pour des utilisations biotechnologiques (expression de protéine recombinante, clonage de gène, séquençage de l'ADN) ont souvent été modifiés pour être présents à un nombre de copies beaucoup plus élevé, de l'ordre quelques dizaines à quelques centaines, ce qui permet une amplification de la production d'ADN ou de protéines.
6. - Qui concerne ou se rapporte aux plasmides, éléments génétiques autonomes situés dans le cytoplasme de certaines cellules, capables de se reproduire indépendamment du chromosome bactérien.
Ainsi, la résistance aux aminosides qui ne concernait, jusqu'en 1975, que la streptomycine et la kanamycine a été modifiée par l'apparition cette même année de deux nouveaux phénotypes de résistance plasmidique.
7. - Qui concerne ou se rapporte aux plasmides, éléments génétiques autonomes situés dans le cytoplasme de certaines cellules, capables de se reproduire indépendamment du chromosome bactérien.
Ainsi, la résistance aux aminosides qui ne concernait, jusqu'en 1975, que la streptomycine et la kanamycine a été modifiée par l'apparition cette même année de deux nouveaux phénotypes de résistance plasmidique.