1. (Médecine) Tumeur maligne d'origine embryonnaire.
Il étudie la dissémination du blastome dans le conjonctif pelvien et dans les voies lymphatiques
(Journal de physiologie et de pathologie générale, éditeur Masson et Cie, 1933)
2. Disposition à faire du mal à autrui, à en penser, à en dire du mal.
La malignité du siècle, du coeur humain. (Figuré) La malignité du sort, de la fortune.
On prétend qu'on est moins malheureux quand on ne l'est pas seul. Mais, selon Zoroastre, ce n'est pas par malignité, c'est par besoin.
(Voltaire, Zadig ou la Destinée, XV. Le pêcheur, 1748)
3. Langue construite qui a été mise au point par le diplomate belge Arturo Alfandari en 1937.
4. Qualité nuisible, dangereuse que renferme une chose.
La malignité de cette fièvre a résisté à tous les remèdes.
5. (Figuré) Disposition à plaisanter, à s'égayer aux dépens d'autrui.
Il ne peut s'empêcher d'exercer sa malignité, même sur ceux qui lui sont le plus chers.
6. PATHOL. État caractérisé par une maigreur extrême et une atteinte grave de l'état général (d'apr. Méd. Biol. t. 1 1970)
7. (Médecine) Grave affaiblissement de l'organisme (avec notamment une perte de poids et une atrophie musculaire), lié à une dénutrition très importante.
Après la découverte, le chien est consulté par la clinique vétérinaire du front de mer de Saint-Paul qui se résoudra à l'euthanasier car atteint de cachexie, conséquence d'une dénutrition maximale.
(Maltraitance sur des chiens à la Possession, article de Ludovic Grondin, site web www.zinfos974.com, 20 mars 2013.)
8. La cachexie est un affaiblissement profond de l?organisme (perte de poids, fatigue, atrophie musculaire, etc.) lié à une dénutrition très importante. La cachexie n'est pas une maladie en elle-même, mais le symptôme d'une autre.
9. (Médecine) Tumeur maligne provenant de tissus embryonnaires.
Il étudie la dissémination du blastome dans le conjonctif pelvien et dans les voies lymphatiques