1. Il est plus spécialement concentré dans l'émail des dents, pour lequel il semble être un oligoélément indispensable. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
2. (Chimie) (Au singulier) Élément chimique de numéro atomique 9 et de symbole F qui fait partie des halogènes. C'est le plus électronégatif de tous les éléments chimiques.
3. (Chimie) (Physique) (En particulier) Atome (ou, par ellipse, noyau) de fluor.
Les chlorofluorocarbones comptent tous plusieurs fluors.
4. (Chimie) Gaz halogène jaune pâle, toxique et irritant, formé de difluor F2. C'est un des corps les plus réactifs en chimie : il réagit avec presque toutes les substances.
5. Le fluor (F) possède 18 isotopes connus, de nombre de masse variant de 14 à 31, ainsi qu'un isomère nucléaire (18mF). Cependant, seul le fluor 19 est stable, faisant du fluor un élément monoisotopique. Aucun radioisotope n'étant produit naturellement sur Terre, l'abondance naturelle de 19F est de 100 %, ce qui fait du fluor également un élément mononucléidique, et permet d'assigner au fluor une masse atomique standard de 18,9984032(5) u.
6. Le fluor est l'élément chimique de numéro atomique 9, de symbole F. C'est le premier élément du groupe des halogènes. Le corps simple correspondant est le difluor (constitué de molécules F2), souvent appelé simplement fluor.
7. (Chimie) Élément chimique de symbole F, numéro atomique 9, appartenant à la famille des halogènes. Il est réputé pour être l'élément le plus électronégatif.
Le fluor constitue un bon exemple d'un élément hormétique pour les animaux à sang chaud : la concentration minimale de fluor dans l'eau de boisson et l'alimentation qui leur est nécessaire étant à peine quelques dizaines de fois plus faible que celle à partir de laquelle cet élément provoque l'apparition de symptômes d'intoxication.
8. (Chimie) Gaz halogène, jaune pâle, composé diatomique (F2), extrêmement réactif et toxique.
9. Carte des risques pour le fluorure dans les eaux souterraines
10. Le fluor est l'élément chimique de numéro atomique 9, de symbole F. C'est le premier élément du groupe des halogènes. Le corps simple correspondant est le difluor ( constitué de molécules F2 ) , souvent appelé simplement fluor.
11. Par voie locale . C'est la voie à privilégier, qui présente le plus d'avantages et le moins d'effets secondaires. L'intermédiaire est le dentifrice. La concentration en fluor des dentifrices pour adultes est relativement constante : 1 000 à 1 500 ppm. Le fluor contenu dans le dentifrice va se fixer sur les dents lors du brossage. La durée de brossage doit donc être suffisante ( trois minutes matin et soir ) . Par voie systémique . Cette voie est utilisable seulement pendant la formation des dents, soit depuis la naissance jusqu'à 12 ans. L'intermédiaire est soit du fluor en comprimés ( prescrits par le dentiste ) , soit une source alimentaire : eau ou sel de cuisine.
12. En France : La fluoration de l'eau est autorisée sous forme d'hexafluorosilicate de sodium[41] et d'acide hexafluorosilicique[42], cependant peu d'informations sont disponibles sur son utilisation réelle dans la production d'eau du robinet. En revanche la fluoration du sel est autorisée et encouragée. Celui-ci doit alors être étiqueté sel fluoré ou sel iodé et fluoré, ce qui signifie qu'il est supplémenté en fluor à raison de 250 mg/kg sous la forme de fluorure de potassium ( par voie humide ) . Cette fluoration a été encouragée en 1986 par la Direction Générale de la Santé pour la prévention en masse des caries dans la population[43]. Les emballages doivent alors aussi alerter le consommateur par la mention : ' ne pas consommer si l'eau de boisson contient plus de 0,5 mg/litre de fluor ' [44]. La loi autorise depuis 1993 l'usage de sel fluoré dans les cantines scolaires si les exploitants se sont assurés que l'eau distribuée ne présentait pas une teneur en fluor supérieure à 0,5 mg/l[45].
13. La première production industrielle de difluor eut lieu lors de la fabrication de la bombe atomique, dans le cadre du projet Manhattan lors de la Seconde Guerre mondiale[10], où l'hexafluorure d'uranium UF6, qui est un composé moléculaire volatil, était utilisé pour séparer les différents isotopes de l'uranium par diffusion gazeuse. Ce procédé est d'ailleurs toujours mis en œuvre lors de la fabrication du combustible nucléaire utilisé dans les centrales nucléaires actuelles.