1. Salle destinée à l'organisation de festivités, de repas, publics ou privés.
2. (Argot) Sexe de la femme, vagin.
3. (Vulgaire) Sexe de la femme ; vagin.
Les termes flatteurs disparaissent dès qu'on passe à la langue populaire, qui n'a pas assez de termes crus pour évoquer le sexe stricto sensu en l'appelant la «tirelire», le trou qui pisse ou, et c'est un moindre mal, la salle des fêtes!
(Georges Lebouc, Parlez-vous le politiquement correct ?, Éditions Racine, 2007, p.23)
4. Salle destinée à l'organisation de festivités, de repas, publics ou privés.
La salle des fêtes était habillée pour une grande cérémonie, de somptueux rideaux blancs et pourpres qui tombaient du haut plafond jusqu'au bas des portes et des fenêtres.
(Maboa Bebe, Ewande Amours, peurs, espoir, L'Harmattan Cameroun, 2014, p.7)
La salle des fêtes tenait un rôle important dans la vie locale, maintenant on appelle ça de trente autres noms, on a droit à espace culturel au lieu de salle polyvalente. Je suppose qu'avant l'âge des salles des fêtes on se contentait des granges, d'une salle fournie par la mairie, du préau de l'école ou de sa version école catholique, le patronage.
(François Bon, Autobiographie des objets, Éditions du Seuil, 2012)
5. Une salle des fêtes ou salle polyvalente est un lieu public qui est mis à la disposition des habitants pour tenir un évènement festif. Le bâtiment est généralement la propriété de la commune et géré par le service municipal chargé de la vie associative.