1. (Pronominal) Se mettre, se tenir au lit pour cause de maladie.
Un soir, je dus m'aliter avec une température de plus de 40° ; le surlendemain les pétéchies firent leur apparitions : c'était le typhus.
(Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, p. 96)
Ce fut vers cette époque que la mère Désiré, sans qu'on sût pourquoi ni comment, fut prise de coliques bizarres qui l'obligèrent à s'aliter.
(Louis Pergaud, Un petit logement, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
2. (Pronominal) Se coucher, en parlant des loups.
3. Contraint de rester au lit, notamment pour des raisons de santé.
C'est si bon de marcher quand on a été longtemps alitée.
4. (Vieilli en contexte de pêche) Disposer les prises en couches successives.
5. (Usage pronominal) S'allonger ou demeurer au lit du fait d'une maladie.
Un soir, je dus m'aliter avec une température de plus de 40° ; le surlendemain les pétéchies firent leur apparitions : c'était le typhus.
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| Forcer à se mettre au lit, à garder le lit. [...]
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| (Pêche) (Vieilli) Ranger les produits de la pêche par lits successifs. [...]
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