1. Le takia est une des langues ngero-vitiaz parlée par 40 000 locuteurs dans la province de Madang, la moitié sud de l'île Karkar, Bagabag et les villages côtiers de Megiar et Serang. Il comporte deux dialectes, le megiar et le serang. Tous, sauf les femmes âgées, emploient le tok pisin ou l'anglais.
2. La taqîya, parfois orthographiée taqiyya et takia, appelée ????'? (taq?yya) en arabe, est une pratique, au sein de l'islam, consistant à dissimuler ou à nier sa foi sous la contrainte afin d'éviter la persécution. Cette pratique est permise dans le cas où un fidèle fait face à une menace, relevant de la charî'a. La pratique de la taqîya a un fondement coranique, notamment dans ces passages qui parlent du reniement de la foi en disant : « Quiconque le fait contredit la religion d'Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d'eux. » (3, 28) tandis qu'un autre passage mentionne « excepté celui qui a subi la contrainte et dont le coeur reste paisible en sa foi » (16, 106).
3. Le mot taqîya , parfois orthographié taqiyya et takia , provient de l'arabe ????? ( taq?yya ) qui signifie « prudence » et « crainte ». Ce terme désigne, au sein de l'islam, une pratique de précaution consistant, sous la contrainte, à dissimuler ou à nier sa foi afin d'éviter la persécution. Cette pratique est connue dans le monde chiite et autorisée dans le sunnisme. Elle possède un fondement coranique, provenant notamment de la sourate 3:28, mais le mot en lui-même n'est pas mentionné dans le Coran.
4. Bazmaghbyur (en arménien ??????????? ; jusqu'en 1949 Takia) est une communauté rurale du marz d'Aragatsotn, en Arménie. Elle compte 1 079 habitants en 2009.