1. Brigand armé qui vivait de pillage et de rapines.
2. (Linguistique) Un des deux dialectes principaux du néerlandais, aux côtés du hollandais, employé dans des régions de Belgique et des Pays-Bas.
3. (Géographie) Relatif à la province belge du Brabant flamand.
4. (Géographie) Relatif à l'ancienne province belge du Brabant.
Elle avait comme Bruges, de hautes tours, dont l'une, au milieu de la plaine brabançonne, semblait le plus beau geste du pays.
(Pierre Nothomb, Les Barbares en Belgique, 1915)
Karl lui raconta tout avec la prolixité guerrière d'un vieux soldat ; comment les troupes anglaises, brabançonnes et impériales, conduites par Édouard III lui-même, étaient venues mettre le siège devant Cambrai, brûlant et ravageant tout [?]
(Alexandre Dumas, Othon l'archer, 1839)
5. Le brabançon (en néerlandais : Brabants) est un des deux dialectes principaux du néerlandais, aux côtés du hollandais. Il est parlé dans une grande partie du territoire de l'ancien duché de Brabant, maintenant divisé entre la Belgique (les provinces du Brabant flamand et d'Anvers) et les Pays-Bas (province du Brabant-Septentrional). Le dialecte bruxellois est la variante la plus connue dans le monde francophone, quoiqu'il soit aujourd'hui presque complètement supplanté par le français.
6. Le brabançon (en néerlandais : Brabants) est un dialecte germanique parlé dans une grande partie du territoire de l'ancien duché de Brabant, maintenant divisé entre la Belgique (les provinces du Brabant flamand et d'Anvers) et les Pays-Bas (province du Brabant-Septentrional). Le dialecte bruxellois est la variante la plus connue dans le monde francophone, quoiqu'il soit aujourd'hui presque complètement supplanté par le français.
7. Le trait belge, parfois encore nommé brabant ou brabançon, est une race de chevaux de trait originaire de Belgique, née de la fusion de plusieurs populations de chevaux de traction présentes sur le territoire belge en 1886, dont le cheval flamand, le brabançon (le plus lourd), le condroz (modèle moyen), et l'ardennais belge (le plus léger).
8. Dans cet article, la terminologie moderne est employée. Dans le domaine linguistique, le terme « flamand » est réservé aux dialectes du néerlandais parlés dans les provinces belges de Flandre-Occidentale et de Flandre-Orientale, ainsi qu'en Flandre française. Le brabançon fut le dialecte le plus important dans la néerlandophonie du XIVe au XVIe siècle et a laissé des traces considérables dans le néerlandais standardisé ; c'est pourquoi il n'est pas considéré comme une langue distincte [38]. Il convient de noter qu'en Belgique néerlandophone, le néerlandais standard ne s'est répandu massivement qu'après les années 1960 [38]. Dans cet article, le terme « néerlandais » ne signifie donc pas nécessairement uniquement la langue standard, mais peut bien servir de terme générique pour désigner l'ensemble de ses dialectes parlés dans les Pays-Bas historiques.
9. Le brabançon (en néerlandais : Brabants) est un dialecte du néerlandais (groupe des langues germaniques).
10. (Géographie) Qui concerne l'ancienne province du Brabant, en Belgique.
Karl lui raconta tout avec la prolixité guerrière d'un vieux soldat ; comment les troupes anglaises, brabançonnes et impériales, conduites par Édouard III lui-même, étaient venues mettre le siège devant Cambrai, brûlant et ravageant tout [...] - Alexandre Dumas - Othon l'archer
11. Dialecte du néerlandais parlé dans certaines régions de Belgique et des Pays-Bas, constituant avec le hollandais l'un des deux principaux dialectes de cette langue.
12. Individu qui se livre à des actes de pillage et de rapine, généralement armé.