1. (Ornithologie) (Archaïsme) Sorte d'oiseau rapace géant, le gypaète barbu.
Il est évident que cet aigle barbu ne peut être que le loemmer-geyer ou gypaëte, le seul des oiseaux de proie qui ait une barbe ; ainsi c'était aussi cet oiseau que les Étrusques nommaient ossifraga
(Pline, Histoire naturelle, édition Panckouck - Paris, 1830, Vol.7, note p.371)
L'Aigle Royal, aîles étendues, à sept pieds & demi de l'une à l'autre de leurs extrémités: le Loemmer-Geyer en a jusqu'à quinze ou seize, & sa férocité égale sa force & sa grandeur. Roi de l'air, il lui faut comme aux Rois un espace immense pour subsister ; la même région en » voit rarement deux rassemblés, ils s'affameroient l'un l'autre, dans une contrée qui nourrit une multitude de leurs sujets.
(Lettres de M. William Coxe à M. W. Melmoth sur l'état politique, civil et naturel de la Suisse, éd. Belin, Paris, 1781, note du traducteur p.267)
Le V. barbarus est le même que le Loemmer-Geyer ou Falco barbatus.
(Georges Cuvier, Le règne animal distribué d'après son organisation, t.1, 3e éd., 1836, note p.192)
2. Variante typographique fautive de loemmergejer, souvent utilisée le caractère « oe » n'étant pas disponible sur le clavier AZERTY, le plus utilisé par les francophones.
3. (Ornithologie) (Archaïsme) Sorte d'oiseau rapace géant, le gypaète barbu.
L'Aigle Royal, aîles étendues, à sept pieds & demi de l'une à l'autre de leurs extrémités: le Loemmer-Geyer en a jusqu'à quinze ou seize, & sa férocité égale sa force & sa grandeur. Roi de l'air, il lui faut comme aux Rois un espace immense pour subsister ; la même région en » voit rarement deux rassemblés, ils s'affameroient l'un l'autre, dans une contrée qui nourrit une multitude de leurs sujets.
(Lettres de M. William Coxe à M. W. Melmoth sur l'état politique, civil et naturel de la Suisse, éd. Belin, Paris, 1781, note du traducteur p.267)
Il est évident que cet aigle barbu ne peut être que le loemmer-geyer ou gypaëte, le seul des oiseaux de proie qui ait une barbe ; ainsi c'était aussi cet oiseau que les Étrusques nommaient ossifraga
(Pline, Histoire naturelle, édition Panckouck - Paris, 1830, Vol.7, note p.371)
Le V. barbarus est le même que le Loemmer-Geyer ou Falco barbatus.
(Georges Cuvier, Le règne animal distribué d'après son organisation, t.1, 3e éd., 1836, note p.192)