1. Noyau situé sous le thalamus, comme le locus niger et le noyau rouge, et qui, comme ceux-ci, est intimement lié aux noyaux gris de la base, semblant participer aux mêmes fonctions. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
2. Le noyau sous-thalamique ou subthalamique (Nucleus subthalamicus), encore appelé Corps de Luys, localisé dans le diencéphale, appartient aux ganglions de la base. On doit sa description au neurologue Jules Bernard Luys en 1865. Ce noyau apparaît dense, richement vascularisé, et de petite taille. Il est intercalé entre la zona incerta dorsalement et la portion diencéphalique de la locus niger et entre au contact de la capsule interne, en dehors, et de l'anse lenticulaire, en bas et en dedans. Il se compose de neurones activateurs glutaminergiques à long axone s'étendant rostro-caudalement et à dendrites épineux ainsi que d'interneurones.
3. Présence de lycopène dans le sang. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
4. Substance caroténoïde proche des carotènes, mais dont la chaîne polyisoprénique n'est pas cyclisée. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
5. (Biochimie) Antioxydant, tétraterpène de la famille des caroténoïdes, et carotènes ; pigment liposoluble rouge que l'on trouve surtout dans la tomate mais également dans d'autres fruits rouges, la pastèque, l'elaeagnus umbellata, le pamplemousse?
Le lycopène des tomates agit sur certains oncogènes impliqués dans la croissance des cellules tumorales, mais à condition d'en avaler plus de dix par semaine.
(Audrey Levy? Se prémunir contre le cancer colorectal- Le Point N°2131 18 juillet 2013 page 49)
Bien que la composition demeure très variable selon les produits, on ne peut envisager ces gélules sans caroténoïdes dont le chef de file est le lycopène, dont la mère de la marque Oenobiol, Marie Béjot, fut pionnière.
(Sous le soleil, les compléments nutritionnels, lalibre.be, 2 avr 2011)
6. Etablissement d'enseignement public du second degré destiné à recevoir des élèves dont la santé nécessite, pour qu'ils puissent suivre une scolarité régulière, un séjour dans une région au climat favorable. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
7. Terme très ancien, d'ordre littéraire, légendaire, démonologique ou médical, désignant l'homme-loup. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
8. (Médecine) (Mythologie) Maladie mentale de ceux qui autrefois se croyaient métamorphosés en loups.
Les raisonneurs les plus incrédules ne voulaient pas admettre une véritable métamorphose, opérée à l'aide ou sans l'aide de la peau enchantée d'un loup, qui, dans certains cas , était supposée coopérer à la transformation , et soutenaient que la lycanthropie n'était qu'une espèce de fatale maladie, une situation d'esprit mélancolique, auxquelles se joignaient des accès de folie, pendant lesquels le malade s'imaginait avoir commis les ravages dont il était accusé.
(Walter Scott, De la démonologie et de la sorcellerie, dans les ?uvres de Walter Scott, traduit par Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret, Paris : Furne, Charles Gosselin, Perrotin, 1836, vol.25, p.371)
9. Enzyme qui catalyse une réaction de décomposition dans laquelle une liaison C-C, C-O, C-N ou autre, est rompue sans hydrolyse ni oxydation. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
10. (Biochimie) Enzyme qui permet de fixer ou de libérer une molécule à une autre autrement que par l'hydrolyse ou l'oxydation.