1. (Religion) Avouer et regretter ses péchés par la confession sacramentelle que le catholique fait au prêtre.
Tous se confessèrent, c'étaient de bons catholiques ; certains firent part de leur trouble, mais la réalité leur échappait? ils ne pouvaient comprendre.
(Anne Perry, Funérailles en bleu, Éditions 10/18 (Univers Poche), 2004)
Il resta trois mois couché sur le dos, dans son lit, blasphéma dans la souffrance [?] se confessa, bien qu'il fût voltairien, reçut l'extrême-onction. Finalement, il ne mourut point.
(Octave Mirbeau, Contes cruels : Mon oncle)
Il y a des vicieux parmi ceux qui se confessent !
(L'Écho de la chaire, nouveau cours complet d'instructions familières sur toutes les vérités de la Religion, Éd. Lelaurin, Mézières, 1840, t. 1, p. 292)
Le concile Ier de Milan sous saint Charles, ordonna que les prêtres se confessassent au moins une fois la semaine [?]
(Louis Thomassin, Des fonctions, des obligations et des biens des dignitaires ecclésiastiques, Librairie ecclésiastique, Paris, 1838, p. 531)
[?] accusez-vous de vos péchés, comme si c'étoit à Jésus-Christ que vous vous confessassiez, que ce fut la dernière Confession de votre vie [?]
(Catéchismes ; ou, Abrégés de la doctrine chrétienne, 2e éd., François Toubeau, Bourges, 1690, p. 260)
2. Avouer et exprimer des remords pour ses péchés dans le cadre de la confession sacramentelle pratiquée par les catholiques auprès d'un prêtre.
Tous se confessèrent, c'étaient de bons catholiques ; certains firent part de leur trouble, mais la réalité leur échappait... ils ne pouvaient comprendre.