1. Édifice religieux mésopotamien en forme de pyramide à étages, dont la fonction demeure floue même s'il s'agirait plutôt d'un lieu de cultes et de sacrifices, qui comportait un sanctuaire. C'est à partir de trois plates-formes que ce genre d'édifices est appelé ziggourat, le maximum étant de sept niveaux.
Des monticules en forme de ziggourats poussaient par terre tandis que des piles précaires et autres tours penchées s'élevaient au sommet de la cloison.
(Sam Savage, Firmin. Autobiographie d'un grignoteur de livres, 2006, p.15. Traduction: Céline Leroy)
2. Variante orthographique de ziggourat.
3. Une ziggurat (ou ziggourat) est un édifice religieux mésopotamien à degrés, présent aussi en Élam, constitué de plusieurs terrasses supportant probablement un temple construit à son sommet. Le terme vient de l'akkadien ziqqurratu(m) (féminin, parfois abrégé en ziqratu, en Assyrie siqurratu ou sequrattu, en idéogrammes sumériens U6.NIR), dérivé du verbe zaq?ru, « élever », « construire en hauteur ». On peut donc le traduire par « la très haute ». Il s'agit du monument le plus spectaculaire de la civilisation mésopotamienne, dont le souvenir a survécu bien après sa disparition grâce au récit biblique de la Tour de Babel, inspiré par la ziggurat de Babylone.
4. Une ziggurat ou ziggourat est un édifice religieux mésopotamien à degrés présent aussi en Élam, constitué d'un empilement de plusieurs terrasses hautes supportant probablement un temple construit à son sommet. Il s'agit d'un type de monument caractéristique de la civilisation mésopotamienne, dont le souvenir a survécu bien après sa disparition grâce au récit biblique de la tour de Babel, inspiré par la ziggurat de Babylone.