1. Variante orthographique de abénaquis, relatif au peuple et à la culture des Abénaquis.
Sur place, la documentariste abénakise, Alanis O'Bomsawin, se désole de la couverture médiatique souvent mensongère et décide de présenter la triste réalité d'un village oublié depuis trop longtemps par le Canada.
(« Documentariste abénakise, Alanis O'Bomsawin », Boreal Hebdo, Radio-Canada, 16 novembre 2012)
Il était une fois, chez le peuple abénakis, une terrible famine qui faisait mourir les hommes, les femmes et les enfants.
(Chantal Thompson et Elaine Phillips, Mais oui!, Cengage Learning, 2013, page 201)
2. Relatif au peuple et à la culture des Abénaquis.
Alors que le Canada ne reconnaît toujours pas le Québec comme une nation, l'Assemblée nationale du Québec, elle, reconnaissait déjà, en 1985, le statut de nation, ainsi que les droits qui y sont rattachés, aux nations abénaquise, algonquine, attikamek, crie, huronne, micmaque, mohawk, montagnaise, naskapie, inuite et malécite.
(Le Devoir, 26 octobre 2006)
En effet, la non moins respectée cinéaste abénaquise Alanis Obomsawin prend le relais de celle qui fut une inspiration pour l'ensemble des Premières Nations.
(Le Devoir, 3-4 juin 2006)
3. Langue parlée par les Abénaquis, peuple amérindien du Canada.
Odanak, au confluent de la Nicolet et du lac Saint-Pierre, est un vieux village abénaquis? où plus personne ne parle abénaquis. Pourtant, il n'y a pas 50 ans, cette langue qu'on dit harmonieuse et caractérisée par les formules de politesse était encore parlée par les vieux du bourg. Il a suffi de deux générations pour que l'abénaquis, comme la plupart des langues autochtones du Canada, soit en danger de disparaître. [?] Pas de méthode Assimil pour les langues autochtones! Pour apprendre l'abénaquis, Monique Nolett-Ille ne dispose que de deux dictionnaires, de la transcription de textes anciens et de quelques éléments de grammaire. Après 10 ans de travail, elle est incapable de soutenir une conversation. « Soixante personnes se sont manifestées spontanément quand j'ai commencé à donner des cours d'abénaquis à Odanak. Après quelques semaines, il n'en restait qu'une demi-douzaine.»
(L'actualité, 17 février 2007)
D'ailleurs, la dernière réalisation qu'elle présente au festival, Sigwan - qui signifie printemps en abénaquis -, est un éloge à l'acceptation des différences au sein des communautés autochtones.
(Le Devoir, 3-4 juin 2006)
Fasciné par les autochtones et aspirant à devenir un des leurs, Harel a vécu dans les réserves de la Côte-Nord, engendré de nombreux rejetons métissés. Il comprend le montagnais, l'algonquin et l'abénaquis.
(Le Devoir, 2 décembre 2005)
4. Le mot abénaqui (également abénaki) est le terme utilisé pour couvrir un ensemble de dialectes algonquins de l'Est, initialement parlé dans ce qui est aujourd'hui le Québec, le Vermont, New Hampshire, le Massachusetts et le nord du Maine.
5. L'abénaqui, ou abénaki, est un terme qui couvre un ensemble de dialectes algonquins de l'est initialement parlés dans ce qui est maintenant le Québec, le Vermont, New Hampshire, le Massachusetts et le nord du Maine.
6. (Rare) Variante orthographique de abénaquis.
D'origine abénakie, Jean-Paul Nolet a été, à partir des années 1940, annonceur et lecteur de radio-romans et de dramatiques.
(« Une grande voix de Radio-Canada n'est plus », Radio-Canada.ca, 3 janvier 2000)
7. L'abénaqui, abénaki ou aln8ba8dawaw8gan est un terme qui couvre un ensemble de dialectes algonquins de l'est initialement parlés dans ce qui est maintenant le Québec, le Vermont, New Hampshire, le Massachusetts et le nord du Maine.
8. L' abénaqui , abénaki ou aln8ba8dawaw8gan est un terme qui couvre un ensemble de dialectes algonquins de l'est initialement parlés dans ce qui est maintenant le Québec, le Vermont, New Hampshire, le Massachusetts et le nord du Maine.