1. (Vieilli) (Désuet) Colle d'amidon fabriquée par pression de grains de blé, utilisée par les tisserands.
2. (Couture) Trou dans le haut (coté non pointu) d'une aiguille par lequel on passe le fil à coudre.
Pour ceux qui ont quelques difficultés à passer un fil dans le chas d'une aiguille, trempez l'extrémité du fil dans un peu de vernis incolore.
(Pierre Bellemare, Le Dictionnaire des 1000 trucs, 1998)
Le chas de cette aiguille est trop grand, est trop petit...
3. L'une des extrémités est pointue et permet de percer le tissu. L'autre est munie d'une perforation appelée « chas », dans laquelle on passe le fil afin qu'il soit entraîné avec l'aiguille à travers le tissu.
4. (Couture) Orifice situé à l'extrémité supérieure d'une aiguille permettant l'insertion du fil.
Mais le siège avait disparu. Escamoté par les soins du curé. Qui avait choisi ce jour-là, comme thème de son prêche, cette parole de l'Évangile : « Il est plus difficile à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu qu'à un chameau de passer par le chas d'une aiguille. »
5. (Maçonnerie) Plaque métallique percée servant au passage du cordeau d'un fil à plomb.
6. (Régionalisme, Franche-Comté) Espace entre deux poutres dans une grange ou un hangar.
7. (Tissage) Substance adhésive obtenue par compression de grains de blé, autrefois utilisée par les tisserands pour amider.
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| (Couture) Trou dans le haut (coté non pointu) d'une aiguille par lequel on passe le fil à coudre. [...]
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| (Vieilli) (Désuet) Colle d'amidon fabriquée par pression de grains de blé, utilisée par les tisserands
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| (Régionalisme) (Franche-Comté) Nom donné, dans une grange ou un hangar, à la portion qui s'étend d'une poutre à l'autre.
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| (Maçonnerie) Petite plaque de métal percée d'un trou par où passe le fil à plomb des maçons.
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