1. Ecclésiastique anglais, prêtre dans l'église anglicane.
Quand Jean, au chapitre III de son Évangile, fait ? comme les naassènes-ophites ? référence au serpent de Moïse (et, à travers lui, au serpent de la Genèse), il ne bavouille pas une minable allégorie de foire tout juste bonne à orner un sermon de clergyman : il exprime un formidable réseau de calculs et de codages prenant en charge le lexique sacré.
(Bernard Dubourg, L'invention de Jésus, tome II, « La fabrication du Nouveau Testament », Paris, Éditions Gallimard, 1989, p. 103)
Joseph Priestley (1733 ? 1804) est un théologien, clergyman dissident, philosophe naturel, pédagogue, et théoricien politique.
2. Nom de l'habit porté par certains prêtres. Il consiste d'une veste de couleur sombre (noire ou grise) et d'une chemise fermée par une collerette dite col romain. Le clergyman remplace souvent la soutane depuis le concile Vatican II.
3. Le clergyman est un habit porté par certains prêtres de l'Église catholique. Il est composé d'une veste de couleur sombre et d'une chemise fermée par un col romain. Entré en usage à la fin des années 1950 en tant que concession faite aux prêtres qui devaient voyager, sa démocratisation a ses racines en France, au cours des années 1960. C'est ainsi qu'il remplace régulièrement la soutane depuis le concile Vatican II.
4. Membre du clergé de l'Église anglicane, notamment en Angleterre, désignant un prêtre ou un pasteur.
Entre un homme d'une cinquantaine d'années vêtu d'un costume sombre et strict comme celui d'un clergyman, chemise blanche et cravate noire, un air de componction et de suffisance, le visage rose et les cheveux gris teintés de violet.
5. Tenue vestimentaire spécifique à certains ecclésiastiques composée principalement d'une veste foncée (noire ou grise) et une chemise avec col romain. Adoptée fréquemment après le Concile Vatican II en remplacement de la soutane.