1. (Marine) (Par extension) Toute armature servant à tenir la voilure d'un bateau.
2. (Pêche) Forte perche plus menue qu'un mâtereau.
L'armement et les vivres des embarcations furent vérifiés ; les espars, pour dépousser les glaces, dégagés de la drome et répartis sur le pont.
(Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
3. (Marine) Support de signalisation maritime en forme de perche, de mât, etc.
4. (Marine) Longues pièces de sapin dont on fait de petits mâts, des bouts-dehors de vergue, etc.
Prenez un espar pour faire un bout-dehors de bonnette.
5. Levier qui sert pour la grosse artillerie.
6. (Viticulture) Nom d'un cépage du sud de la France.
7. Sur un bateau, un espar (mot étymologiquement apparenté à l'allemand Spiere et à l'anglais spar, qui ont la même signification) est un élément de gréement long et rigide, originellement en bois, et ayant un rôle technique à jouer dans la propulsion (à voile) et les manoeuvres.
8. Sur un bateau, un espar est un élément de gréement long et rigide, ayant un rôle technique à jouer dans la propulsion à voile et les manoeuvres. Entrent dans la catégorie des espars les mâts, bômes, vergues, bouts-dehors, queues de malet, livardes, wishbones. On peut aussi y associer les éléments mobiles tels que avirons, barre, tangons, etc.
9. Levier.
Une forêt, que la perspective épaississait encore, confondait ces troncs, ces espars et ces plates-formes.
10. (Pêche) Perche robuste, de dimension inférieure à un mâtereau.
L'armement et les vivres des embarcations furent vérifiés ; les espars, pour dépousser les glaces, dégagés de la drome et répartis sur le pont.
11. (Marine) Pièces allongées en bois ou en métal servant à divers usages dans le gréement telles que petits mâts ou supports mobiles.
12. (Marine) Support de signalisation maritime sous forme perchoir.
13. (Viticulture) Cépage originaire du sud de France.