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1. En botanique, un gourmand ( à ne pas confondre avec un drageon ) est un rameau qui se développe à partir d'un oeil à bois. Moyen de défense pour la plante ligneuse, il pousse spontanément sur une partie exposée à la lumière, notamment après une phase d'auto-élagage d'un arbre lorsqu'il poussait à l'abri de la canopée, ou sur un tronc émondé. Cette pousse est nommée gourmand car elle est supposée détourner à son profit les substances nutritives de l'arbre. Le gourmand est en effet à l'origine un terme d'arboriculture fruitière désignant une pousse infertile ( non ou peu fructifère ) dont le développement « épuise » les branches à fruits ( d'où l'origine du terme qui remonte au début du XVIIIe siècle et dérive directement de l'autre sens de gourmand, « qui aime manger » ) , les arboriculteurs cherchant à les éliminer au profit des branches fruitières. Ce terme a donc dès le départ une connotation négative, qu'il garde chez les sylviculteurs puisque la grande majorité des défauts du bois dépréciant la qualité des grumes sont attribués aux gourmands .
2. Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »
3. En botanique, un gourmand ( distinct d'un drageon ) est un rameau qui se développe à partir d'un œil à bois. Moyen de défense pour la plante ligneuse, il pousse spontanément sur une partie exposée à la lumière, notamment après une phase d'auto-élagage d'un arbre lorsqu'il poussait à l'abri de la canopée, ou sur un tronc émondé. Cette pousse est nommée gourmand parce qu'elle est supposée détourner à son profit les substances nutritives de l?arbre. Le gourmand est en effet à l'origine un terme d'arboriculture fruitière désignant une pousse infertile ( non ou peu fructifère ) dont le développement ' épuise ' les branches à fruits ( d'où l'origine du terme, qui remonte au début du XVIIIe siècle et dérive directement de l?autre sens de gourmand, ' qui aime manger ' ) , les arboriculteurs cherchant à les éliminer au profit des branches fruitières. Ce terme a donc dès le départ une connotation négative, qu'il garde chez les sylviculteurs puisque la grande majorité des défauts du bois dépréciant la qualité des grumes sont attribués aux gourmands .
4. Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section ' Notes et références ' .
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