1. On traduit souvent Ketouvim par le terme Autres Écrits en français, le mot ????'?? signifiant littéralement « écrits ». Dans la liturgie, on les nomme parfois kitveï kodesh (« écrits saints » ou « de sainteté »). On les désigne aussi par l'expression Livres Hagiographes ou simplement Hagiographes.
2. Hagiographes : Psaumes (Ps) ? Proverbes (Pr) ? Job (Jb) ? Cantique des cantiques (Ct) ? Ruth (Rt) ? Lamentations (La) ? L'Ecclésiaste ou le Qohélet (Ec) ? Esther (Est) ? Daniel (Da) ? Ezra (Esd) ? Néhémie (Ne) ? Chroniques 1 (1Ch) ? Chroniques 2 (2Ch).
3. On traduit souvent Ketouvim par le terme Autres Écrits en français, le mot ?????? signifiant littéralement « écrits ». On les désigne aussi par l'expression Livres hagiographes ou simplement Hagiographes.
4. L'hagiographie (du grec ancien ? ? ???? / hágios (« saint ») et ??????? / gráphein (« écrire »)) est l'écriture de la vie et / ou de l'oeuvre des saints. Pour un texte particulier, on ne parle que rarement d'« une hagiographie » (sauf dans le sens figuré), mais plutôt d'un texte hagiographique ou tout simplement d'une vie de saint. Le texte hagiographique étant destiné à être lu, soit lors de la prière Chrétienne de la nuit (Lectures) soit en public dans le cadre de la prédication, on lui donne souvent le nom de légende (du latin legenda, « ce qui doit être lu », terme utilisé dans son acception la plus littérale et non dans son sens péjoratif de récit dépourvu de tout enracinement dans l'histoire événementielle). Le glissement de sens opéré durant le XVIe siècle au terme légende qui désigne alors un « récit à caractère merveilleux où les faits historiques sont transformés par l'imagination populaire ou par l'invention poétique » résulte de la nécessité devant laquelle se sont trouvés beaucoup d'hagiographes médiévaux de fournir la matière destinée à alimenter le culte de saints personnages dont ils ignoraient à peu près tout.