1. (Cuisine) Sorte de gelée qui se fait communément avec du lait, des amandes, du sucre et de la colle de poisson. 
 Car, pour le bal, c'est une chose décidée, et je ferai les invitations dès que Nicholle aura fait les provisions nécessaires pour le blanc-manger et les fromages glacés. 
 
 (Jane Austen, Orgueil et Préjugé, Paschoud, 1822) 
 
 
2. Le blanc-manger est un entremets sucré ou salé, à base de lait aromatisé et épaissi avec du riz, de la fécule de pomme de terre ou de maïs, qui se présente comme un flan et qui doit son nom à sa parfaite blancheur. Il se distingue de la panna cotta, à base de crème et de gélatine. Dans la pratique, il est fréquent que les deux terminologies soient confondues, et beaucoup de recettes empruntent à l'un et à l'autre de ces entremets.
3. Le  blanc-manger  est un mets sucré-salé d'origine perse puis médiévale, une sorte de bouillie ou de gelée, devenu à l'époque moderne un entremets sucré, traditionnellement à base de lait, d'amandes et/ou de riz (qui joue le rôle d'épaississant, remplacé par ou additionné de fécule de pomme de terre ou de maïs) voire d'ingrédients exotiques (coco), qui est bouilli et donne une sorte de pudding ou de flan caractérisé par sa blancheur ivoire. Il se distingue de la panna cotta, à base de crème et de gélatine. Dans la pratique, il est fréquent que les deux terminologies soient confondues et beaucoup de recettes empruntent à l'un et à l'autre de ces entremets.
4. (Cuisine) Entremets constitué principalement de lait, d'amandes moulues, de sucre et d'un agent gélifiant.  
 Car, pour le bal, c'est une chose décidée, et je ferai les invitations dès que Nicholle aura fait les provisions nécessaires pour le blanc-manger et les fromages glacés.  
 
 
5. (Québec) (Cuisine) Dessert élaboré à partir de lait, de sucre et de fécule de maïs.