1. Les noms de Terreur blanche (en espagnol, Terror Blanco) ou de répression franquiste (Represión Franquista) désignent l'ensemble des exactions et répressions politiques exercées par le camp nationaliste puis par la dictature franquiste durant et après la guerre d'Espagne. Durant le conflit, elle se déroula en parallèle à la terreur rouge pratiquée en zone républicaine.
2. La Terreur blanche de Taïwan (chinois : ???? ; pinyin : báisè k?'ngbù) est une période qui commença lors du massacre 228, le 27 février 1947, après que la population se soit soulevée contre le gouvernement contrôlé par le Kuomintang (parti nationaliste chinois), dirigé par Chiang Kai-shek. Celui-ci établit la loi martiale, qui resta en place du 19 mai 1949 au 15 juillet 1987.
3. L'expression de Terreur blanche a une origine qui reste très incertaine. Elle caractérise deux épisodes dans l'histoire de France : en 1795, dans le Midi, certains partisans royalistes pourchassent et massacrent les jacobins responsables de la Terreur « rouge » en place les années précédentes.
4. Le terme de terreur blanche est souvent employé pour qualifier les massacres commis en Russie par des unités des armées blanches pendant la guerre civile russe. Elle répond et contribue à exacerber, par réaction, la « Terreur rouge », menée par la Tchéka et l'Armée rouge.
5. Le nom de terreur blanche (en hongrois : Fehérterror) est donné à l'ensemble des actions de répression et de terreur menés en Hongrie, de 1919 à 1920 ou 1921-22, par les troupes et unités paramilitaires contre-révolutionnaires après la chute de la République des conseils de Hongrie.
6. L'expression de terreur blanche, employée en référence à la Terreur de la Convention montagnarde, désigne les périodes de répression exercées généralement par des royalistes, dont la couleur emblématique est le blanc, contre leurs opposants.
7. L'expression de terreur blanche, employée depuis la fin du XXe siècle pour faire un parallèle avec la Terreur de la Convention montagnarde, désigne les périodes de répression exercées généralement par des royalistes, dont la couleur emblématique est le blanc, contre leurs opposants.
8. La Terreur blanche est une période de violences commises au printemps et à l'été 1795 dans la vallée du Rhône et le Midi de la France, sous la Convention thermidorienne, lors de la Révolution française. Pendant cette période, environ 2 000 personnes, montagnards, sans-culottes, agents municipaux, membres des tribunaux ou dénonciateurs sont assassinées. Si les massacres sont initialement imputés aux royalistes ? dont la couleur emblématique est le blanc ? ils s'inscrivent davantage dans un contexte de vengeances et de règlements de comptes contre les partisans supposés de la ' Terreur '. Les violences cessent en juillet 1795, lorsque la Convention parvient à reprendre en main le Sud-Est.
| Les noms de Terreur blanche ( en espagnol, Terror Blanco ) ou de répression franquiste ( Represión Franquista ) désignent l'ensemble des exactions et répressions politiques exercées par le camp nationaliste puis par la dictature franquiste durant et après la guerre d'Espagne. Durant le conflit, elle se déroula en parallèle à la terreur rouge pratiquée en zone républicaine.
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1. La Terreur blanche de Taïwan ( chinois : ???? ; pinyin : báisè k?ngbù ) est une période qui commença lors du massacre 228, le 28 février 1947, après que la population se fut soulevée contre le gouvernement contrôlé par le Kuomintang ( parti nationaliste chinois ) , dirigé par Chiang Kaï-shek. Celui-ci établit la loi martiale, qui resta en place du 19 mai 1949 au 15 juillet 1987 .
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