2. Ce qui se vend, se débite, soit en gros, soit en détail, dans les boutiques, magasins, foires, marchés, etc.
A mesure qu'augmentait les émissions de papier-monnaie, s'accentuait la dépréciation du mark, et de plus en plus les particuliers s'efforçaient, quand ils recevaient des billets, de les échanger aussitôt contre des marchandises.
(Wilfrid Baumgartner, Le Rentenmark (15 Octobre 1923 - 11 octobre 1924), Les Presses Universitaires de France, 1925 (réimpr. 2e éd. revue), p.93)
Un commerçant en cartes postales licencieuses l'engagea pour quelques sous. Le jeune homme devait fournir tout un stock de distiques appropriés à la marchandise.
(Victor Méric, Les Compagnons de l'Escopette, Éditions de l'Épi, Paris, 1930, p. 28)
Au retour, ils rencontrèrent un officier et deux hommes qui procédaient à un inventaire sommaire des marchandises utilisables que contenaient les magasins.
(H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, p. 304 de l'éd. de 1921)
Chaque fjord islandais a un petit chef-lieu [?]. Dans ces localités résident des marchands qui troquent contre les marchandises du Danemark les produits de l'Islande : poissons séchés, fourrures, peaux de phoque, huile de baleine, etc.
(Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, p.58)
4. Ensemble des biens offerts à la vente, que ce soit en gros ou au détail, dans divers lieux commerciaux tels que boutiques, magasins, foires ou marchés.
Chaque fjord islandais a un petit chef-lieu [...]. Dans ces localités résident des marchands qui troquent contre les marchandises du Danemark les produits de l'Islande : poissons séchés, fourrures, peaux de phoque, huile de baleine, etc.