1. Temps qui n'est pas consacré aux activités professionnelles, imposées ou indispensables.
2. Le temps libre est le temps dont dispose une personne en dehors des tâches, imposées, consenties ou volontaires mais obligatoires ou nécessaires pour sa vie ou sa survie au sein d'une société, comme la scolarité, les études, le travail, les activités sociales, l'éducation des enfants, les tâches ménagères, les déplacements, les repas ou le sommeil.
3. [noun] Free time
4. Heures de loisir d'une personne qui est ordinairement très occupée. ? Note : On ne l'emploie guère que dans la locution : À mes heures perdues.
J'irai vous voir à vos heures perdues.
5. [noun] Time that can be spent on one's own activities rather than work.
6. Action de recréer.
Dissout le 2 juillet 1940, le 4e régiment de hussards voit sa recréation à partir des élements du COABC 405, le 15 février 1945.
7. En imagerie numérique, en scanographie et en IRM, reconstitution de l'image à partir des données brutes stockées dans la mémoire de la machine. [Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine]
8. Action de reconstruire.
(Figuré) ? Entendant le sens et la portée de la désignation dont il fut l'objet comprenant que ce que l'opinion républicaine attendait de lui ce n'était pas un badigeonnage, un récrépissage du vieil édifice militaire, c'était une reconstruction, il se résolut à la tâche.
(Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
La Russie demeurait par force une puissance pacifique, divisée au-dedans, déchirée entre les révolutionnaires et les réactionnaires également incapables de reconstruction sociale, et elle s'enlisait dans un désordre tragique de vendetta politique à retours chroniques.
(H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, p. 124 de l'éd. de 1921)
[En 1194,] l'ensemble de la population de Chartres s'est mobilisé pour financer la reconstruction de la cathédrale, ravagée par un incendie.
(Brigitte Coppin, À la découverte du Moyen Âge, Père Castor Flammarion, 1998)